Ben en fait dans UC, t'es subjugué par la réalisation et en fait les clichés sont pas si présents, y'en a moins mais ils sont plus flagrants et flanqués de violentes séquences de second degré.
Ici, c'était surtout la quantité qui était violente, Miyazaki en abuse je trouve. Héros poutre, pacifiste, prophétie, quête mystique, petit vieux miraculeux, forêt vs forges, c'était trop pour moi. Après, ça décolle mais un peu tard à mon goût, et surtout ça retombe dans cette bouillie de bons sentiments.